Il s’agissait d’une ancienne tour de défense arabe coïncidant avec l’une des portes d’entrée à la moreria.
Ascó se configurait d’un grand nombre de maisons entourés de murailles avec de rues étroites, obscures, en pente et tortueuses qu’on peut admirer même aujourd’hui.
Sous la grande place on y trouvait les silos de l’aljama et de la mosquée.
La légende populaire raconte que les caudillos arabes, en arrivant au balcon de l’Èbre, n’hésitèrent pas à poser un seigneur à Ascó grâce à ses vues et sa position stratégique.
Quelques restes du château nous rappellent un passé intense, quand le château templier d’Ascó devenait une forteresse imposante au centre de l’Èbre catalan.
C’est une des maisons d’origine médiévale qui compte avec une porte à la vile chrétienne qui conserve encore sa façade mauresque.
L’un des édifices plus remarquables d’Ascó qui se distingue par présenter des styles architectoniques différents.
C’est l’un des rares exemples de Puits à Neige qui restent au sud de la Catalogne. Il se nourrissait de la neige provenant des Pyrénées à travers du Segre et de l’Èbre.
Il y avait les dépendances de l’aljama et la mosquée ou se prélevaient les taxes.
Cal Cavaller est l’une des meilleurs œuvres de la Renaissance à la Ribera d’Èbre. Nous remarquons le blason nobiliaire sur la façade.
La légende populaire raconte que les caudillos arabes, en arrivant au balcon de l’Èbre, n’hésitèrent pas en poser un seigneur à Ascó grâce à ses vues et sa position stratégique.
C’est l’une des rues plus singulières et caractéristiques par sa forme de fer à cheval et aux éléments architectoniques andalous encore conservés. Les façades extérieures servaient de muraille.
Formation rocheuse singulière qui prends forme de visage et qui prenait cet nomme après la possession templière en mémoire de l’occupation musulmane précédente.
La Maison du Encomendador Sapata, qui était en charge de gouverner le village.